Vous avez été confronté à une situation de détresse psychologique, vous avez été victime de harcèlement moral ou sexuel par un(e) supérieur(e) hiérarchique.
Vous n’avez pas le droit à votre repos de garde, vous enchainez les heures de travail. Vous subissez la pression de votre supérieur(e) hiérarchique ou de votre coordinateur de DES.
Vous avez été témoin d’une situation d’humiliation d’un co-interne.
Vous avez l’impression d’être dans une impasse à cause de la rigidité de votre cursus. La crise sanitaire aggrave un constat déjà critique, celui du mal-être des internes.
Il est essentiel de témoigner maintenant et de transmettre les éléments factuels qui pourraient être en votre possession, en lien ou non avec la crise sanitaire de la Covid-19. Vous pouvez aussi nous envoyer des vidéos, des photos, des dessins, des enregistrement audio pour illustrer vos conditions de travail ou témoigner face caméra
Ces appels à témoignage permettent d’éclairer la situation des internes et des établissements publics. Ils sont également un moyen pour les internes qui en éprouvent le besoin de bénéficier d’une plateforme dans laquelle ils peuvent s’exprimer librement et exprimer leurs craintes, difficultés et charge émotionnelle rencontrées dans l’exercice de leur profession. Dans le cadre du rôle et des missions de l’ISNI ils pourront être utilisés afin de mener toutes les actions possibles, y compris judiciaires, en vue d’améliorer les moyens et les conditions d’exercice au sein des établissements publics de santé.
Enquête Santé Mentale des internes pendant l’épidémie de COVID.
En parallèle de l’appel au témoignage, nous vous invitons à répondre à une enquête sur la santé mentale des internes pendant l’épidémie, les données sont anonymisées.
📝 ➡️ https://form.sondage-isni.fr/index.php/628798?lang=fr
Merci pour ce texte. Tout est résumé.
Reflet exact de la réalité du terrain sans compter sur le manque de moyens en matériel, de patients covid de collègues covid et de se battre pour faire admettre une pec plus adaptée ds une unité dit covid ds notre ets puisque ça a le mérite d exister, il a fallu que notre psychiatre palabre avec son confrère des heures pour faire admettre une patiente bmr et covid svp gué guerre de cheffalions pouvoir quel temps perdu et épuisement, sans compter la hiérarchie qui comprend pas que les collègues en asa donc à de our rester chez eux équipe de réserve doivent être sollicités pour pallier à 1 absence et bien non n c est pas admis par certains cadres donc pdt que certains s échinent les autres sont payés à rester chez eux alors q en plus ils sont volontaires pour renforcer bien sûr, et que c est dans ce sens que ses équipes de réserves ont été mise en place, on marche sur la tête je vous le dis. Alors ses cadres la préfèrent laisser tourner le service à 3 c est à dire service minimum alors que 10 attendent chez eux du délire total. Qui en pâti be’ les patients bien sûr et le personnel qui s épuise.
Marie